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BESOINS SPÉCIFIQUES

Les aménagement raisonnables sont mis en place au profit
des enfants dits  « à besoins spécifiques ».
Le tout premier article du décret Aménagements raisonnables
en traite d’ailleurs d‘entrée de jeu… Qu’en est-il ?
Ancre 1

Il s’agit des besoins résultant d’une particularité, d’un trouble, d’une situation permanente ou semi-permanente d’ordre :

  • psychologique
    ex. : trouble du comportement ;
     

  • mental
    ex. : troubles « dys- », déficience intellectuelle ;
     

  • perceptif
    ex. : difficulté visuospatiale sévère ;
     

  • psycho affectif
    ex. : dépendance exagérée à l’adulte.

 

Faisant obstacle au projet d’apprentissage et requérant au sein de l’école, un soutien supplémentaire pour permettre à l’élève de poursuivre de manière régulière et harmonieuse son parcours scolaire dans l’enseignement ordinaire ou dans l’enseignement spécialisé*.

 

L’idée maitresse de ce soutien supplémentaire est de compenser le trouble et non de favoriser l’enfant par rapport aux autres élèves.

Citons comme troubles les plus fréquemment rencontrés : tous les « dys- »** (dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dyspraxie, dysphasie, etc.), trouble du spectre autistique, trouble du déficit de l’attention, etc.

Les enfants à besoins spécifiques, atteints d’un ou plusieurs de ces troubles attesté par un spécialiste, doivent bénéficier d’aménagements raisonnables.

L’aide à la mise en place de ces aménagements est l’une des missions du Pôle.

Pour les enfants souffrant de troubles sensorimoteurs, un partenariat est prévu avec des écoles spécialisées telles que l’Irsa, l’institut royal pour Sourds et Aveugles.

 

* Source : décret Aménagements Raisonnables de 2017, article 1er.

** N.B. : la nomenclature des troubles a récemment été mise à jour (voir notre Lexique).

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